05 novembre 2008

Ce 5 novembre 2008, nouvelle Journée Noire pour le monde libre !

Comme le 11 septembre 2001, ce 5 novembre 2008 est une journée noire pour le monde libre. Journée noire qui inaugure sans doute, hélas, des lendemains plus sombres encore !




Ce jour, le peuple américain a voté comme « on » a fait en sorte qu'il vote ! Pour cela, les MSM (Mainstream Medias), les « faiseurs d'opinion » acquis à la gauche, ont soumis ce peuple, depuis des mois, à un matraquage d'une incroyable démagogie, à un véritable rouleau compresseur médiatique, fait de désinformations, de mensonges, de diffamations, de déni de réalité sur fond de vacarme omniprésent, un vacarme plein d' « émotions », de « rêves », de « gnangnan », de (chantage aux) « bons sentiments » mais ...vide de sens ! Bref, d'une désinformation quasi permanente, destinée a empêcher le compte-rendu fidèle des faits et leur vérification, ainsi que l'analyse, la réflexion, et le débat sur ceux-ci. Le tout scandé par des « sondages » ventriloques.

Mais aussi, un peuple implicitement menacé de l'accusation de « racisme » s'il refusait d'élire un candidat métis et musulman, issu à la fois des milieux noirs les plus racistes et les plus haineux envers les blancs, et des milieux de gauche les plus extrémistes. Un candidat puissamment soutenu financièrement par une upper-class « démocrate » corrompue et avide de pouvoirs à n'importe quel prix, qui en a fait son cheval de bataille.

Un peuple tenu en laisse par cette caste arriviste "multinationale" qui méprise ce peuple attaché à son pays, à sa terre, à tout ce qui fait la nation, et qui, au nom de la « diversité » et de l' « affirmative action (discrimination positive) a recyclé à son profit le discours gramscien, la lutte culturelle de l'extrême-gauche. Une « upper » classe qui se soucie comme de colin-tampon des effets négatifs à long terme que sa politique ne manquera pas de provoquer, comme elle se désintéresse tout autant de l'intérêt des générations futures qui vont subir les effets du démantellement larvé de leur nation, voire affronter, comme en Europe, probablement devenue - entretemps - Eurabia, la balkanisation, la formation d'enclaves, la guerre raciale, les affres de l'esclavage et de l'oppression musulmane.




1. Le peuple américain, disais-je, a fini par céder à la pression médiatique.

Ce sinistre 5 novembre 2008, malgré une résistance soutenue du candidat républician, John Mc Cain (qui, au vu des rares sondages non "ventriloques", a bien tenu jusqu'au moment du déclenchement de la crise financière), le peuple américain a fini par élire comme 44-ème président des États-Unis :

  • un candidat profondément menteur, un candidat qui n'a jamais cessé de mentir tout au long de sa campagne, mais dont les mensonges ont été étouffé, tout-au long de celle-ci par des médias très complaisants

  • un candidat (qui aurait normalement dû être déclaré) inéligible : né au Kenya, et non à Hawaï comme il le soutient, il ne remplissait même pas les conditions d'éligibilité !
    (parions que si un procès en destitution, bien mérité, lui était intenté, on verrait toutes les « bonnes âmes », toutes les brêles multiculturalistes qui ont fermé les yeux sur tous ses mensonges et toutes ses turpitudes bêler au « rââcizzme »)

  • un candidat aux deux mains gauches: un candidat qui, en dehors de sa capacité à se défiler et à faire prendre des vessies pour des lanternes, et de son charisme pour les nuls, n'a aucun autre actif à son crédit que son élection comme le Sénateur le plus à gauche du parti Démocrate, qui n'a aucun programme consistant, en dehors du «demain on rase gratis», et dont la seule stratégie de campagne était basée sur l'apparat, le culte de sa personnalité, les promesses démagogiques tous azimuts, disproportionnées et souvent contradictoires entre elles. Un sénateur depuis seulement quatre ans, qui n'a fait aucune proposition de loi, aucune intervention notable, et trouvait le moyen de s'absenter chaque fois qu'intervenait un choix difficile, un vote pouvant nuire à sa popularité, devient, par une sorte de tour de passe-passe médiatique, le 44ème Président des États-Unis !
  • un candidat qui a fait un lapsus révélateur sur sa « foi musulmane », lors d'une interview, et qui, en tout cas, entretient des relations suivies avec le terrorisme palestinien, les islamistes du Hamas et du Hezbollah, comme avec le Fatah.

  • un candidat d'extrême-gauche: un candidat qui faisait partie du « New Party », l'aile activiste d’extrême-gauche du Parti Démocrate. Et qui entretenait des contacts étroits avec des activistes dangereux comme, par exemple, le terroriste William Ayers, ou le terroriste palestinien Rashid Kalidi.

  • un candidat raciste, qui a également évolué pendant vingt ans dans les milieux racistes noirs, où il a suivi les prêches extrémistes de son ami intime, le pasteur Jeremiah Wright, entretenu des relations avec Louis Farrakhan (leader de Nation of Islam, et grand admirateur d'Hitler), les Black Panthers, etc.

  • un candidat antisémite, qui n'a pas hésité à affirmer que « Dieu n´a jamais donné de blanc-seing à Israël pour occuper la Palestine», ou qu’Israël était « une plaie infectée au Proche-Orient » ou encore « qu’Israël pratique un génocide à l’encontre des Palestiniens »
  • un candidat pacifiste, dans le sens que l'extrême gauche donne au mot pacifisme : un candidat qui n'a eu cesse de nier les effets salutaires de l'intervention des États-Unis en Irak, n'a jamais daigné rencontrer le général David Petraeus à l'origine du redressement spectaculaire en Irak, dont il menace de retirer les troupes américaines alors qu'un début fragile de démocratie se fait jour, un candidat qui a déjà annoncé une politique d'apaisement (donc de laxisme accru) envers l'Iran, qui fera courir un risque accru d'instabilité dans la région, et donc un risque accru pour l’existence même d’Israël.

  • un candidat véreux, étroitement lié à l’ACORN (association en examen pour fraudes électorales massives), dont les fonds qui ont permis d'acheter son élection proviennent pour une part de financements occultes (notamment par des états islamiques comme la Syrie, qui a financé la campagne des démocrates avec des fonds iraniens) et pour l'autre partie, essentiellement, d'une « upper-class» démocrate qui a dépensé sans compter pour imposer son « poulain », ce qui lui a permis de dépenser trois fois plus pour sa campagne (dont 600 millions de dollars de pub) que le candidat républicain. Tout le reste (comme la soi-disant participation massive de nombreux petits donneurs par internet, qui auraient ainsi financé "l'essentiel de la campagne"), ne sont que légendes et mensonges destinés à donner le change...

  • un candidat qui a été propulsé par le mensonge sur la crise financière, dite des “subprimes” (crédits aux individus non-solvables). Un matraquage médiatique mensonger a fait croire aux américains (et aux autres) que cetet crise était provoquée par une « dérégulation des marchés », par un « capitalisme sauvage », alors qu'elle était, au contraire, provoquée par des mesures socialisantes très interventionnistes votées sous Clinton, facilitant le crédit aux insolvables. Ces mesures, allant jusqu'à la possibilité d'invoquer devant les tribunaux une « discrimination » en cas de refus de crédit, étaient renforcées par des sociétés semi-publiques de refinancement comme « Fanny Mae » et « Freddy Mac » qui ont disséminé le refinancement de ces « toxic credits » dans le monde entier pour aboutir à la crise financière gigantesque que l'on connaît actuellement. Ces sociétés peu scrupuleuses étaient étroitement liées à des personnalités démocrates. Des « pompiers-pyromanes » qui ont réussi le tour de force de faire du marché et d'une soi-disant « déréglementation le bouc émissaire de leurs erreurs étatistes et leurs manipulations interventionnistes.

  • un candidat qui a d'ailleurs soutenu lui-même ce système des subprimes, en s'opposant à la réforme que son futur rival conservateur, John McCain, proposait pour éviter ou atténuer les risques d’une crise financière sans précédant. Un candidat qui a comme conseiller un ancien

  • un candidat communautariste, qui a bénéficié du vote plébiscitaire des électeurs noirs, qui ont voté pour lui à plus de 90 % (et qui n'ont pas hésité à recourir à l'intimidation devant certains bureaux de vote, ni a des fraudes massives) sans que personne ne se risque à soulever la question du racisme que pose ce vote massivement communautariste.

  • un candidat qui a, enfin, bénéficié d'une participation et d'un vote massif des communautés musulmanes, d'habitude indifférentes à la vie politique aux États-Unis., et peu présente habituellement au scrutin. Ainsi que de ce que toute la planète compte de dictatures, et autres états musulmans terroristes, mais aussi de tous les "bobos" et de tous les "multicuculs" de la planète.



2. Le peuple américain n'est pas SEUL responsable du choix calamiteux qu'il a fait !


Le peuple américain est certes responsable de son choix. Mais ce choix n'a pas pu être fait en connaissance de cause, dans un climat d'hystérie, de tromperie et de mensonges permanents, sur fond d'«antiracisme » bêlant. Une campagne de désinformation systématique organisé par une presse hystérique (1)



Bref, une « presse » aux ordres. Une presse d'agit-prop'.

Une presse qui, au mépris de toute déontologie professionnelle, a troqué :

  • le langage de la raison (si tant est que la plupart des « journalistes » l'ont jamais eu) pour celui de l'émotion facile

  • la recherche et l'analyse des faits objectifs pour l'appel aux rêves fumeux,, et aux promesses délirantes et sans consistance, souvent absolument impayables (au sens humoristique comme au sens financier pour certaines)

  • le respect du lecteur et de l'électeur et son droit à une information équitable, contre la manipulation de bas-étage et la désinformation systématiquement orchestrée (2)

Cette « presse » de désinformation a également troqué ce qui devait être l'élection d'un président des États-Unis pour une sorte d'élection d'un nouveau « Messie », destiné à jouer aux rassembleurs derrière la couleur de sa peau (bonjour le racisme gramsien !). Pour atteindre ce but gramscien, la presse a recouru sans vergogne au black-out et aux déploiements d'écrans de fumées pour recouvrir les faits les plus dérangeants, faisant ainsi l'impasse sur le passé et les accointances gênantes de ce nouveau « Messie ».


Le peuple américain était – par ailleurs - implicitement menacé de « racisme » s'il se refusait à voter pour un candidat d’extrême-gauche, un candidat raciste musulman anti-occidental, même si c'est un candidat sorti du milieu noir le plus raciste et le plus haineux, dès lors que ce candidat était métis.

(1) surtout outre-Atlantique, et particulièrement en France, où le caractère « noir » du candidat (il n'était donc plus métis ?) a été exacerbé de façon inimaginable par une presse bêlante et délirante !



3. Les conséquences de ce choix catastrophique ne vont néanmoins pas se faire attendre !

Citons, parmi les plus prévisibles :

31. l'influence grandissante de l'extrême-gauche dans le Parti démocrate, amorcé depuis une quarantaine d'années, ne sera probablement pas enrayée.

Le noyautage du parti démocrate par l'extrême-gauche, commencé sous l'ère Nixon, et même avant, est déjà devenu très important actuellement. Pour en donner deux exemples frappants, il n'est que de mesurer la façon dont une certaine « upper-class » a réussi à sortir un sénateur presque inconnu, et n'ayant aucune réalisation à son actif, du lot pour en faire un candidat "présentable", et l'imprévisible éviction de Hillary Clinton (qui a stupéfié tout le monde, notamment au Parti démocrate), de la course présidentielle.

Malgré les contre-feux que le Parti Démocrate s'apprête probablement à mettre en place, cette influence ne fera que croître dans un avenir prévisible, et risque d'aboutir aux phénomènes suivants:

311. une remise en cause drastique de la politique pro-israélienne menée traditionnellement par l'administration américaine



312. une augmentation sensible de l'antisémisme aux Etats-Unis

Celle-ci est déjà très sensible dans les universités américaines et dans les milieux « intellectuels » de la gauche démocrate., comme on a pu le mesurer à l'occasion du climat de conspirationnisme qui entoure les attentats du 11 septembre, mais aussi les manifestations antisémites et islamophiles lors de l'entrée en guerre en Irak, ou l'éternelle accusation de « conspiration des banquiers juifs » lors de la crise financière actuelle.

313. une islamisation accrue, et une jonction plus forte entre les courants d'extrême gauche et les courants islamophiles.

Alors que la résistance à l'islamisation commençait à s'organiser sérieusement aux Etats-Unis, n'hésitant pas à bousculer les tabous actuels du politiquement correct, et à se faire plus présente (comme avec la distribution massive aux lecteurs de journaux du film « Obsession » sur CD ) , cette résistance risque de faire les frais d'une politique de plus en plus liberticide, comme en France, qui cherche à « la mettre au pas ».

Une politique ou terrorisme intellectuel de gauche et taqqiyya se combineront encore d'avantage pour étouffer notre liberté de pensée, de critique, et d'opinion.



32. La politique extérieure des Etats-Unis risque d'être catastrophique !

321. La lutte globale contre le terrorisme risque d'être abandonnée, et une nouvelle vague de terrorisme est malheureusement à prévoir !

Alors que la gravité de la menace islamiste n'est nullement disparue, et que celle-ci se diversifie (notamment avec un accroissement des recrues occidentales parmi les nouveaux convertis) , un retrait d'Irak, qui libèrerait des ressources qui pourraient se déployer sur d'autres terrains aurait un effet catastrophique. De même, la stratégie globale de lutte contre le terrorisme, qui a permis que les États-Unis n’aient plus subi d'attaques sur leur propre sol depuis le 11 septembre 2001 (dépassant de loin les prévisions les plus optimistes des experts) risque d'être abandonnée au profit d'un retour à une recherche classique, au cas par cas, de résolution locale des conflits. Ce retour, qualifiée par les démocrates de "pragmatique", fait fi de la nature globale du terrorisme islamique, et pourrait avoir des effets désastreux, face à un ennemi dont la stratégie reste globale, et qui ne s'embarrasse ni de frontières, ni de respect des traités locaux.

Le relâchement (qui se dessine déjà clairement, avec, par exemple, la promesse inconsidérée de fermer le camp de Guantanamo) de cette lutte contre le terrorisme s'accompagnera de mesures d' « apaisement » et de « dialogue » dont on connait déjà le résultat catastrophique ailleurs, comme en Europe et au Canada. La politique de « la main tendue » ne pourra être perçue que comme un aveu de faiblesse, tant par les pays islamiques et les multiples groupes terroristes que ces pays (dont l'Iran et la Syrie) entretiennent de par le monde, que par les autres dictatures, comme la Corée du Nord, l'autre menace nucléaire, et les dictatures et quasi-dictatures populistes d'Amérique du Sud.

322. L'administration américaine réactivera l'ONU, ce repaire d'incapables, de couards, et de racistes droitdelhommistes, qui sert de chambre d'écho aux pays islamistes et aux pays gauchistes revanchards

L'ONU est devenu, depuis déjà longtemps, la plate-forme de l'OCI, l'Organisation de la Conférence islamique (OCI), dont aucun des 54 états n'a souscrit à la Déclaration Universelle des droits de l'Homme, une organisation qui souhaite la criminalisation de l' « islamophobie » (délit de blapshème) , une première étape fondamentale vers le musellement de l'esprit critique et l'acquièscement tacite aux normes de la loi islamique, la Charia. Cette organisation, fondamentalement raciste anti non-musulmans, prépare, au sein de l'ONU, l' « Alliance des civilisations », une appelation hypocrite pour une tentative multiculturaliste destinée à torpiller les normes occidentales en matière de droits de l'individu, et la conférence, dite de Durban II, contre le « racisme », qui sera présidée par ...l'Iran (champion, comme l'on sait dont les deux objectifs majeurs sont la criminalisation d'Israël et la " diffamation des religions" (comprendre : pénalisation de toute attaque contre cette secte raciste qu'est l'islam) au nom d'un prétendu « anti-racisme », anti-racisme ultra-raciste rebabtisé "lutte contre l «'islamophobie ».

Sous l'égide de l'OCI et avec le soutien d'autres dictatures, et de pays apeurés par la menace pétrolière, plusieurs "résolutions", certes sans valeur contraignantes, mais néanmoins extrêmement inquiétantes, ont déjà été votées dans ce sens, par une majorité de pays, contre les démocraties occidentales.

Nul doute que le choix de ce nouveau président, crypto-musulman d'extrême-gauche et raciste anti-blancs, favorisera l'accélération de ce prétendu mouvement d' « Alliance des Civilisations » , qui est en fait un mouvement d'llégeance de la civilisation à la barbarie, destructeur de l'Occident, de ses valeurs démocratiques, et de liberté. Et ce, quels que soient les garde-fous dont le parti démocrate, et les sponsors de l' « upper-class » gramscienne, genre Sorros et Cie, , voudront l'entourer par ailleurs.

323. L'Iran continuera sa marche vers la bombe nucléaire sans connaître de véritable opposition de l'administration américaine.

Le jeu de dupe actuel que pratiquent les mollahs d'Iran vis-à-vis de l'administration Bush ne changera pas parce que la nouvelle administration démocrate voudra prôner un « dialogue direct », bien au contraire. Cette nouvelle attitude sera perçu comme un signe de plus de l'impuissance des États-Unis à imposer un démantèlement de l'arsenal nucléaire dont sont occupé à se doter les mollahs, et encouragera ceux-ci à continuer à développer leur potentiel de nuisance, notamment via les différentes factions terroristes qu'ils entretiennent de par le monde, comme le Hezbollah au Liban et le Hamas en Palestine.

324. L'Irak va avoir du souci à se faire...

Le désengagement annoncé en Irak, et le déplacement d'une partie des troupes vers l'Afghanistan, théâtre d'opérations décentré et de bien moindre intérêt géostratégique, risque de remettre sérieusement en cause les résultats très nets obtenus par l'opération de contre-insurrection Surge en matière de réduction des actes de terrorisme (résultats soigneusement tus par la presse française) .

... et le reste du monde aussi !

Pire, un tel désengagement ouvrirait un boulevard pour l'Iran pour influencer, sinon menacer directement les monarchies pétrolières, et même l'Europe. Que les médias occidentaux ne voient pas cette menace de cet excentrement du théatre d'opérations est proprement ahurissante, et en dit long sutr l'abêtissement et l'aveuglement de nons me(r)dias.. !

325. La politique de la nouvelle administration américaine au Proche-Orient sera au mieux inexistante, au pire, extrêmement dangereuse pour Israël.

Au mieux, la nouvelle administration se contentera d'agiter les actuels 'hochets' : « implication » américaine dans les négociations avec la Syrie, le Hamas et le Fatah, « dialogue » avec l’Iran, avec la « menace » d'hypothétiques « nouvelles sanctions ». Mais la collaboration logistique, le renseignement, et l'aide militaire dont bénéficiait Israël risque d'être fortement réduits ou de disparaître. Si l'administration décidait de se désengager du problème du Moyen-Orient, cela ouvrirait un boulevard à l'Europe et à la Russie, et ce serait peut-être pire encore.

Mais la nouvelle administration américaine sera certainement constituée de la plupart des conseillers du candidat qui vient d'obtenir la présidence , et de ses pseudo "spécialistes" qui considèrent - souvent avec une mauvaise foi évidente - qu'Israël est « le nœud du problème », et il est probable que cette nouvelle administration exigera d'Israël encore d'avantage de concessions, des concessions qualifiées de « radicales » pour aboutir à un soi-disant « règlement "équitable" du conflit » .

Alors que c'est exactement le contraire : non seulement Israël n'est pas « le nœud du problème » (1) , mais les mesures « radicales » préconisées risquent d'être seulement radicales pour l'existence d'Israël et de sa population juive.
S'il veut survivre, non seulement Israël devra résister fermement aux nombreuses pressions, voire menaces, que l'administration américaine fera immanquablement dans ce sens et refuser toute nouvelle concession, mais il faudra qu'il songe au contraire, à revenir sur les concessions passées, en dénonçant les accords qui n'ont jamais été respectés par les musulmans. Et passer, au contraire, à des actions plus musclées : interdire l'acheminement de toute aidelogistique ou financière européenne, américaine ou autre, aux palestiniens, nettoyer les enclaves de Gaza et Cisjordanie de tous les terroristes musulmans (et faire la même chose avec le Hezbollah au Liban, d'ailleurs) . Expulser vers des pays musulmans tous les populations qui constituent, sur son sol, une menace pour son existence. Et détruire les capacités nucléraires de l'Iran avant qu'il ne soit trop tard.

(1) tout au plus Israël est il le "canari dans la mine", [addenda: selon l'expression d'Alfons Heck,] un canari dont le sacrifice ne résoudrait rien du tout, mais serait simplement une préfiguration de ce qui attend les autres peuples occidentaux, mais aussi le Japon, l'Inde, et la Chine, s'ils ne mettent pas fin à cette infection totalitaire qu'est l'islam.

326. L'Europe paiera cher son Obamania, et devra assurer elle-même sa sécurité,

Tant dans ses engagements internationaux (où elle sera priée de compenser elle-même un probable désengagement américain) que sa lutte anti-terroriste, L'Europe va faire l'apprentissage douloureux de ce à quoi servait réellement la guerre en Irak, lors d'un probable retrait américain : désormais libérés du « puits de violence » qui les retenaient en Irak, suite à ce qu'ils considéraient comme une agression du "Dar Al Islam" (la Maison de l'Islam), les terroristes musulmans vont pouvoir consacrer d'avantage de ressources pour tenter de disséminer leurs actions dans le "Dar Al-Harb" (la Maison de la Guerre), et reprendre leurs attentats contre les villes et les intérêts européens (et indiens).

L'Europe "transnationale", déjà largement dhimmifiée, et les états qui ont suivi (voire précédé, comme en France) ce mouvement de dhimmification, n'aura plus à tenir compte de la résistance américaine comme garde-fous : les progrès de l'islamisation conjugués à ceux de la censure de la liberté d'expression risquent d'être encore bien plus rapides.



33. Sur le plan de la gestion intérieure, ce ne sera pas beaucoup mieux

331. L'administration américaine aura probablement les mains libres, mais ...ne fera rien (de bon).

Avec la probable arrivée massive des démocrates au Congrès, celui-ci passera probablement complètement sous contrôle « démocrate », et il est douteux que, en dehors de veiller au « renvoi d'ascenseur » pour rétribuer les coûteuses prébendes électorales, ce contrôle s'exerce réellement contre la nouvelle administration américaine, si ce n'est, tout au plus, pour tenter de « limiter la casse » dans les cas graves.

Mais ça ne changera pas grand chose, car non seulement le président sera complètement incapable, surtout dans un contexte économique aussi défavorable, d'honorer ses promesses d'instaurer un État Providence, une sécurité sociale à charge de l'état, et autres délires étatistes, etc… mais toute tentative, même timide, dans ce sens, aboutira à une augmentation de la dette publique, des impôts et des taxes, et se soldera par un étouffement de l’économie, sans effet positif notable.

332. en dehors de mesures interventionnistes, la gestion de la crise financière sera tout simplement ...inexistante !

Résoudre la crise financière sans créer une nouvelle bulle spéculative ailleurs exigerait des mesures drastiques, à commencer par l'abolition de toutes les mesures interventionnistes, prises, e.a. au nom de la « discrimination positive ». Comme les pressions que subissent les banques américaines, au nom du Community Reinvestment Act ou le Home Mortgage Disclosure Act (statistiques raciales sur l'octrois de prêts hypothécaires), pour les obliger à faire du crédit aux gens, bien au delà de leur capacité d'endettement, avec la pyramide imaginée par avec les organismes de refinancement des crédits subprimes. Or ces mesures ont été obtenues par des groupes de pression comme l'ACORN (Association of Community Organizations for Reform Now) où on retrouve un certain ...Barack Hussein Obama !

Peu de chance donc que ce dernier soit enclin à revenir sur ses erreurs idéologiques, et prenne le contre-pied en prenant des mesures impopulaires qui éliminent les canards boiteux et les activités non rentables, et supprime les facteurs de corruption et autres mesures réglementaires qui provoquent des distorsions de concurrence, pour que l'économie reparte sur des bases saines .

332. Le repli isolationniste des États-Unis va encore s'amplifier d'avantage

Paradoxalement, la politique « d'ouverture et de dialogue tous azimuths » du nouveau président « noir » (pourquoi noir, au fait ?) ce messie crypto-musulman qui marche sur l'eau va accélérer le repli isolationniste et non l'inverse. Les dictatures islamiques et autres sont loin d'être aussi crétines que nos démocraties peuplées de décérébrés de gauche, et ne se laisseront nullement abuser, elles, par ce « dialogue d'ouverture » tous azimuths censé apporter la grande conciliation multicucul entre races, cultures, et religions (et sectes assimilées comme l'islam).


Ces dictatures sauront bien éviter les pièges de cette « politique de la main tendue » en pratiquant ce qu'elles font à merveille : se positionner en victimes et exiger toujours d'avantage en ne donnant jamais rien en échange, face aux démocraties irrésolues et démissionnaires. Et elles profiteront sans vergogne de la situation de faiblesse accentuée que créera le nouveau président, dont le gauchisme, le multiculturalisme et la haine anti-blanc et anti-occidentale seront comme autant de portes d'entrées à

Les démocraties, et particulièrement les démocraties européennes, engagées dans cette énorme farce d' « Alliance des Civilisations » avec la complicité des eurocrates cyniques de cette autre prostituée (la première étant l'ONU) qu'est l'UE, se réveilleront avec la gueule de bois de leur « Obamania » et avec des défenses immunitaires encore amoindries : l'unanimisme et la pensée unique de gauche auront encore fait des progrès inquiétants, avec la complicité d'une droite affairiste cynique et sans scupule, la répression des libertés fondamentales, à commencer par celle de penser (déjà bien entamée, notamment dans ce pays à la pointe du combat liberticide qu'est la France) . Les « démocrates » américains auront réussi, une fois de plus, à faire ce qu'ils savent si bien faire (comme avec les subprimes, ou avec la destruction de l'Iran du Shah) : foutre la merde partout ailleurs au nom des bons sentiments gnangnans , et tirer ensuite leur épingle du jeu, en brûlant ce qu'ils auront adoré, et en écartant celui qu'ils auront mis en place (à moins qu'un sursaut républicain - improbable à l'heure actuelle - ne les prenne de vitesse).

L'Europe en perte de démographie (et dont les eurocrates onts sciemment favorisé une immigration musulmane massive et non-contrôlée, sans tenir compte des risques, et sans l'aval des peuples d'Europe) sera bien avancée sur le chemin d'Eurabia , confirmant les pronostics les plus sombres de Bat Ye'Or ou encore de Marc Steyn, losqu'il décrit la fin du monde tel que nous le connaissons dans "America Alone"



06 août 2008

Comment les médias français entretiennent l'irénisme ...et le mensonge permanent (3)

Pour les détails de l'affaire "Al Doura" voir les épisodes précédents de
« Comment les médias français contribuent à entretenir l'irénisme en France ».
  1. Comment les médias français ... (1)
  2. Comment les médias français ... (2)
Pour la notion d'Irénisme , voir : Irénisme et Islam


Cette fois, dans le cadre de l'Affaire Al Dura, je vous parlerai moins du dhimmi alter-juif Charles Enderlin, que de la chiée de beaufs qui le soutiennent dans sa campagne de désinformation, campagne qui consiste à nier envers et contre toute vraisemblance, la fable de la Mort de Mohammed Al-Dura.




Premier exemple (1) : le «caricaturiste» gauchiste, pacifiste, tiers-mondiste, multi-cucul et antisémite(oui je sais: ça commence à faire beaucoup ! Pourtant...) dont le nom est Jean Plantureux, alias Plantu.
(1) Notez que je n'avais que l'embarras du choix, dans ce panier de crabes de "journalistes", "chroniqueurs", "éditioralistes" et "dessinateurs" de Charlie-Hebdo, Marianne, le Nouvel Obs (de ce cher antisémite Jean Daniel), L'Express, sans oublier - bien sûr - ces grands classiques de la presse gaucho-gnangnan que sont Libé, l'Huma, et l'(Im)Monde (version "normale" ou "Diplodocus") et j'en passe...
En bon gramscien rodé à la lutte culturelle, et convaincu que le noir, le musulman, le palestinien sont - par définition - des exploités et les meilleurs êtres de la terre, et que le blanc, le juif, l'occidental sont les pires exploiteurs, et que leur culture et leur civilisation, c'est caca,Plantu est viscéralement opposé à toute vérité qui contredit le dogme gramscien qu'il défend bec et ongles dans ses caricatures (2)

(2) caricatures qui sont assommantes de répétitions, car elles vont toutes dans le même sens : l'africain pauvre, digne, victime, est magnifié par rapport au blanc, gras, laid, profiteur, etc.. ad nauseam ! Et, bien entendu, du "pauvre" palestinien du Fatah ou du Hamas, qui doit faire face au vilain « oppresseur » israélien qui l'empêche d'accomplir ce que sa "culture" et sa "religion" lui imposent : rejetter tous les juifs à la mer. Logiquement, Plantu futdonc un des premiers à s'offusquer à l'AFP des caricatures danoises de Mahomet, en déclarant « je revendique le droit à la nuance » (le ridicule ne tue pas). Quand Plantu vole au secours de son copain Siné, un autre antisémite notoire (2a) , dessinant Val (le propriétaire de Charlie-Hebdo, qui a - à juste raison- éjecté Siné du journal), en nazi, mettant un coup de pied au cul de Siné, il fait, bien sûr, dans la nuance... C'est vrai qu'il prend la précaution de dire que, selon lui, ça ne signifierait, en aucun cas, qu'il cautionne les éructations antisémites de Siné (ben tiens !) .
On appréciera, au passage, l' «imagination» en perpétuel renouvellement de «l'artiste» Plantu : outre ses nombreuses caricatures de Le Pen, toutes basées sur le même moule, il caricaturait déjà, dans le Monde, dans la foulée du "tout sauf Sako", Sarkosy en nazi. Bigre, quelle imagination !

(2a) Siné, c'est ce charmant thuriféraire des fedayinns palestiniens, qui a notamment été condamné en France pour avoir déclaré le 9 août 1982, quelques heures seulement après l'attentat terroriste de la rue des Rosiers, qui fit un carnage (six morts et 22 blessés) en plein quartier juif : "Je suis antisémite. Je vais faire dorénavant des croix gammées sur tous les murs… Je veux que chaque juif vive dans la peur, sauf s’il est pro palestinien…"

Même - et surtout - lorsqu'elle émane des attendus d'une justice française pour une fois exemplaire, car elle a pris le temps d'examiner soigneusement tous les faits, prenant toutes les précautions nécessaires, et ayant visionné attentivement les rushes avant de conclure - de la manière la plus nette et la plus complète possible - que Philippe Karsenty, en qualifiant le « reportage » de Charles Enderlin de supercherie médiatique n'avait - en rien - diffamé ni Charles Enderlin, ni France 2.

Exit le chantage juridique contre ceux qui exercent leur sens critique, en même temps que leur liberté d'opinion à l'égard de ce « grand journalissst » (autoproclamé) qu'est Charles Enderlin. Les nains-tellectuels manipulateurs et liberticides, les maîtres-chanteurs gramsciens du multiculturalisme et les policiers de la pensée stalinienne ont peut-être perdu là une bataille décisive.

Les Siné, Plantu, Charles Enderlin et consorts en sont donc réduits à pleurnicher entr'eux, en ressassant sans fin leur ignoble propagande : l'original de la caricature (évidemment beaucoup moins drôle que la « caricature de la caricature ») se trouve, bien évidemment, publiée sur le blog de Charles Enderlin (il n'y a pas de petites ignominies)

[to be continued]





22 juillet 2008

Gramscisme et homosexualité.

Suite de l'article précédent : « Chanson tapettement incorrecte » .


Sur base de la vidéo de LaBaf publiée en fin d'article : La BAF à la Gaypride - Et si on essayait les femmes ? » Naibed vous invite à faire un tour avec elle dans les profondeurs insondables de la bêtise gramscienne. (attention à ceux et celles d'entre-vous qui sont sujets au vertige !)

(Cindy tente d'expliquer le B.A. BA de la biologie aux participants de la Gay Pride)


[01:26] Refus d'interview

Ah ben non, Cindy :
ils ne sont pas gais
ces gays
!
(la plupart d'entre eux ne sont d'ailleurs pas venus pour s'amuser, mais bien pour «lutter» contre une soi-disant «oppression» hétérosexuelle qui n'existe que dans leurs esprits malades)



Première partie: petite introduction au gramscisme.

Le gramscisme comme lutte culturelle
Bien qu'elle essaie de se donner des allures de « fête bon enfant », la Gay-Pride est d'abord une lutte culturelle, qui fait partie d'une lutte bien plus générale: la lutte gramscienne, une lutte acharnée, souvent méchante, perverse, hargneuse et hystérique contre les valeurs de l'occident. Une lutte ou le parti communiste est omniprésent. Ce qui est logique, puisque le gramscisme fut inventé par Antonio Gramsci, un des fondateurs du parti communiste italien, pour substituer la lutte culturelle à la lutte des classes, dont il constatait l'échec, les ouvriers ayant tendance à s'embourgeoiser (bref ! ...à passer à l' « ennemi ») dès qu'ils en avaient l'occasion.

La grande trouvaille du gramscisme était donc de provoquer la fragmentation de la société en de multiples petits groupes auto-proclamés « opprimés » (les juifs, les noirs,
les homos, les femmes, les pov' z'immigrés, les clandestins, etc., et ..last but not least, les musulmans) contre un soi-disant groupe "oppresseur" que personne ne précise, mais dont on comprend bien, par déduction (et après élimination des autres possibilités) qu'il vise l'homme occidental, blanc, hétérosexuel, judéo-chrétien... dont il faut absolument dénigrer la culture (et donc aussi la civilisation) considérée comme "dominante" pour la détruire.
Le gramscisme comme lutte liberticide
Les scandaleuses lois liberticides votées en France, ce pays qui s'auto-proclame (sans aucune justification historique, d'ailleurs) la (petite) patrie des drwâââhs de l'homme, et qui visent à interdire les "propos homophobes" en sont une parfaite illustration. Il ne s'agit pas tant, dans ce pays, de protéger les homosexuels contre les insultes et la diffamation comme n'importe quel citoyen (dans tous les pays démocratiques, même en France, il y a des lois générales pour cela: nul besoin de faire des lois d'exception) que d'établir légalement des droits spéciaux, des droits dérogatoires pour un groupe particulier que l'on cherche à avantager. Et surtout, il s'agit de faire taire la liberté d'expression à l'égard de ce groupe particulier, celui des homosexuels, dans notre exemple. Dans le but de museler toute critique envers les excès communautaristes dont ce dernier groupe se rend coupable.
Le gramscisme et le « processus victimaire »
Pour faire passer ces lois liberticides, les milieux de gauche n'ont pas hésité à inventer de toutes pièces une soi-disant "persécution" dont seraient "victimes" les homosexuels, les immigrés, les noirs, etc. .. en France.
Le même procédé a aussi été repris pas les « féministes » françaises de gôche (dont, entre autres, les brêles de « chiennes de garde ») pour tenter de particulariser les insultes « sexistes » ..à l'égard des femmes (pas à l'égard des hommes ...bien entendu !).
Notons au passage que les hum ! « féministes » les plus hystériques pour interdire toute insulte à l'égard d'une femme sont paradoxalement - souvent - les premières à s'aplatir devant cet autre communautarisme qu'est l'islam, le communautarisme musulman, à propos du voile, et de toutes les autres monstruosités sexistes. Chercher l'erreur... !

La lutte des classes gramscienne justifie que les groupes « dominés » autoproclamés puissent tout se permettre, mais - surtout pas ! - le groupe déclaré « dominant » .(1)

Une telle incohérence apparente ne se comprend que si on dévoile le motif profond du gramscisme : poursuivre l'hideuse et criminelle lutte des classes (2) sous la forme - extérieurement plus acceptable - d'une lutte culturelle contre le fameux groupe gramscien qualifié de "dominant".
On le voit très clairement dans l'exemple ci-dessus: pour ce genre de, hum !, « féministes » "de gôche" seul le sexisme de l'homme blanc est intolérable. S'il est le fait d'un noir ou d'un musulman, il trouve grâce à leurs yeux, et ce dernier pourra se permettre infiniment pire (3) sans s'attirer de reproche : c'est « culturel » !
(1) Ce qui est évidemment une manière efficace de museler la majorité (déjà généralement silencieuse), et donc, la démocratie, tout en s'assurant une sur-représentation des associations - prétendument « citoyennes » - d'activistes (bruyants et monopolisant le crachoir médiatique) de nos (prétendus) groupes « dominés », ... à qui il faut « donner une meilleure "visibilité" ».
(2) ce racisme ignoble à l'égard des "riches", mais surtout des entrepreneurs, des classes moyennes, bref ...de tous ceux qui travaillent à la prospérité d'un pays, qui prennent le risque d'entreprendre, de miser leur argent, de faire faillite, et donc "coupables" de s'enrichir
(3) on le voit clairement à propos de la violence envers les femmes. Dans les années années '70, les années du féminisme triomphant, à une époque où la migration extra-européenne était quasi inexistante, la violence envers les femmes était de l'ordre de 5%. Une femme sur vingt était victime de violence, et on jugeait déjà cela - à juste raison - intolérable.
Avec l'immigration extra-européenne, ce taux allait progressivement exploser (c'est un grand tabou, particulièrement en France, ce dernier pays soviétique, où le simple fait de tenir des statistiques pour analyser ce phénomène et ses causes constitue ...un délit !), pour atteindre la proportion d'une femme sur trois dans certaines banlieues de « jeunes » où le femme blanche est considérée comme du gibier (de même que la beurette qui aurait un peu trop tendance à se croire en démocratie, et à s'émanciper, voire à simplement refuser de porter le voile), où les viols en tournante dans des caves sordides sont devenus chose banale, entre deux incendies de voitures ou deux deals de drogue. Où les crimes dits « d'honneur » (voire les lapidations) se multiplient, etc.. sans qu'il soit « politiquement correct » de s'interroger sur les causes culturelles, ethniques et religieuses de ces phénomènes, car celles-ci sont trop clairement afro-musulmanes.
Bonjour le racisme inversé !

L'infiltration du gramscisme dans toute la société occidentale
Ce gramscisme, qui prône le relativisme culturel (comme moyen de subversion) et le multiculturalisme (comme dogme, pour remplacer le pluriculturalisme) a depuis longtemps quitté les sentiers de l'extrême gauche, pour s'infiltrer dans toutes les classes de la population, et particulièrement les milieux affairistes mondialistes, comme l'upper-class "démocrate" américaine (notamment à Washington), ou la gauche française dans son ensemble.

Infiltration faite à la faveur de
concepts foireux comme la discrimination positive, la « diversité », l' « impératif » démographique, ou le multiculturalisme (qui pose que toutes les cultures - même celle des anthropophages - et toutes les religions - même les théocraties totalitaires militaro-religieuses comme l'islam - se « valent » et méritent « le respect »). Plus évidement, d'autres dogmes tout aussi foireux : la "sacro-sainte" protection des « minorités» (même malveillantes), le dogme du "vivre ensemble" à tout prix (vive le "vivre ensemble" des poules et des renards !), le pacifisme, cette horreur monstrueuse qui nous a valu la seconde guerre mondiale (au lieu d'une guerre bien plus courte si on avait tout de suite décidé d'y mettre bon ordre en tapant sur les boches), l'antiracisme (à sens unique), l'antifascisme (stalinien), etc. Bref ...tout l'attirail classique des gauchistes.
Les collabos gramsciens détestent les résistants
Cette guerre culturelle masquée a déjà fait les nombreux ravages que l'on sait: il aboutit à l'actuelle haine de soi, l'auto-dénigrement des valeurs occidentales (alors que si on considère une bonne partie du reste de l' « humanité » ... bonsoir ! l'obscurantisme et la barbarie !!) trouvant son point d'orgue avec la fameuse« repentance » ..uniquement occidentale, comme de bien entendu !, et une hostilité incroyable des soumis - non, comme on devrait logiquement contre ceux qui les oppressent, mais contre ceux qui ne suivent pas les chemins du lopettisme généralisé, ceux pour qui les valeurs supérieures de l'occident ont encore du sens, et qui osent encore se battre pour leurs libertés : les américains et les israéliens.


Deuxième partie: le gramscisme chez les tapettes (*)
(*) précisons bien, pour les policiers de la pensée, que j'utilise les termes de tapettes ou de brêles tapettoïdes par respect pour les homosexuels. En effet, j'ai la faiblesse de croire que la plupart des homosexuels sont des gens tout ce qu'il y a de plus normaux, responsables, citoyens, etc. Des gens qui ont en horreur ces exhibitions narcissico-hystériques comme la Gay Pride, qui veulent vivre leur sexualité comme n'importe quel autre individu, en toute 'intimité et dans une relative discrétion. Tout comme moi, hétérosexuelle poly-amoureuse, je le fais (je ne me balade pas en rue en tenant un amant de chaque côté par les fesses). Donc, pour distinguer ces homosexuels respectables des brêles chtarbées hystériques d'Act Up et consorts, précisons encore que je réserve le terme de « tapettes» à ces dernières..

Examinons maintenant quelques passages de la vidéo précédente :
[02:54] Interview d'un noir plutôt sympathique.


Question: Que faites-vous là, Monsieur ? Pourquoi êtes-vous là ?

R: Pour la Pride, la marche de la fierté.

Q: expliquez-nous cette "fierté" ?

R: La fierté : être homosexuel c'est une fierté. Il faut être fier d'être homosexuel.

commentaires : il a beau avoi' l'ai' intelligent et sympa, le noir ...bonjour la connerie quand même ! Je conçois que l'on soit fier de ses actions, de ses réalisations, etc ... mais je ne vois pas pourquoi certains devraient se sentir particulièrement fier d'une situation, d'un état auquel (de l'aveu des intéressés eux-mêmes) ils ne sont pour rien.
Car, à ce compte, je ne vois vraiment pas pourquoi je ne serais pas particulièrement fière ...d'être hétérosexuelle : après tout, n'en déplaise à ces nouveaux biologistes que sont les juristes frönçais, non seulement nous sommes (clairement) supérieurs aux homos du point de vue de la reproduction de l'espèce, mais
, de plus, nous sommes plus de 95% d'hétéros (1) (c'est quand même pas rien, comme minorité ! (2) ).
Pour rester dans cette, hum ! « logique » ...à quand la reconnaissance des « droits gramsciens » des hétéros ??
A quand donc une « Hétéro-Pride » rassemblant des dizaines de millions de personnes, pour montrer à tous toute notre joie et notre fierté d'être hétérosexuels ?


(1) même si la simple mention de cette statistique est déjà considérée comme une provocation "homophobe" par les brêles gramsciennes tapettoïdes !
(2) notons - pour pasticher le "langage" gramscien sur la «protection» des «minorités» - que cette minorité majoritaire est clairement bafouée dans ses droits "suprématistes", contrairement aux autres minorités, alors même que (où serait ce "parce que" ?) elle a plus de raisons, et notamment des raisons scientifiques solides, de faire valoir sa propre suprématie !


[04:14] Interview d'un homo plutôt "typé" : torse-nu, lunettes noires, une casquette de type soviétique, et avec - en prime - un drapeau du PCF
(vous croyez que j'exagère, que j'invente ?)


Question: Est-ce que vous saviez que Che Guevara était particulièrement homophobe ?

R: Che Guevara peut-être... mais la nièce de Fidel Castro [...] a réussi à faire qu'en 79, deux ans avant la France, l'homosexualité soit dépénalisée. C'est quand même deux ans avant la France ! Donc en effet, ...peut-être que Fidel Castro a commis d'énormes erreurs avec ses camps, avec tout ça pour les homosexuels, mais depuis ça c'est largement rattrapé quand même !

commentaires : traduisons : pour les cocos-tapettes, ce qui est important pour Cuba, ce sont les apparences légales ("deux ans avant la France !"). Après, ce que font réellement les communistes...

Q: Il vient d'interdire la parade gay à Cuba. Vous êtes d'accord ? Si vous avez raison, il faut interdire la Gay Pride à Cuba ?

R: Non. C'est parce qu'il interdit toute manifestation. C'est pour ça. J'ai jamais dit que c'était un régime démocratique... Je dis juste que pour les trans, pour les homosexuels, il y a quand même des progrès qui sont assez énormes.

Q: ..pour autant qu'ils ne manifestent pas et qu'ils se cachent, quoi, en gros ?

R: Ah ben... ça ! je suis d'accord qu'il faut absolument autoriser heu ..la marche ! la marche de la fierté partout.

commentaires : traduisons : ce qui est important, toujours pour les cocos-tapettes gramsciennes, c'est apparemment de surtout bien montrer que les droits des homos ne sont pas inférieurs à ceux des hétéros dans les pays communistes. Après ça, ce qui se passe réellement, ce que font réellement les camarades garde-chiourmes du régime, bof...


[06:00] Un gros beauf en t-shirt rouge
(Mayday, mayday ! ... la police de la « bien-pensance » s'inquiète !)



Gros Beauf: donc je rentre chez moi et je m'inquiète du risque que vous pouvez représenter, c'est-à-dire c'est un militantisme purement idéologique,

(Cindy brandit une pancarte : "Avec une femme, c'est plus gai !!!" )

Gros Beauf: ...un autre moyen d'être anti-homos !

commentaires : traduisons : pour le gros beauf PC - hétéro mais "bien pensant" - tout ce qui pourrait contester l'action militante hystérique des tapettes chtarbées, même par l'humour, est « anti-homos ! ». Faudrait quand même pas que des hétéros se mettent à critiquer, sinon, où va-t'on ?!

Mais, bien entendu Gros Beauf ne voit sans doute rien d' « idéologique » dans le gramscisme gauchiste liberticide, ni dans l'action militante hystérique des tapettes gaucho-chtarbées, façon Act-Up et consorts... En gros, ces derniers peuvent bien faire n'importe quoi, presque tout se permettre (y compris chercher à miner les fondements même de la société judéo-chrétienne hétérosexuelle (qui est bien bonne, dans son humanisme, de les tolérer en son sein) dans une sorte de rage nihiliste gauchiste, et de haine de la civilisation occidentale judéo-chrétienne (qui est pourtant la seule où ils peuvent presque tout se permettre) sans qu'on puisse réagir !

Belle conception de la liberté de pensée et d'expression, chez ces "policiers de la pensée" !


[08:40] Voix de fausset, un droitdelhommiste, nous explique - sans rire - que "l'islââm cé pââ la Charia" (crise de fou rire assuré, si le ridicule ne tuait pas ! Hélas ici en l'occurence, ...le ridicule tue ! ...Et pas qu'un peu !!)



Q:
Nous sommes avec "Ensemble contre la peine de mort". Alors Monsieur va nous expliquer la raison de leur présence à ..

Voix-de-fausset: Nous sommes présents à la Gay Pride, à la marche de la fierté depuis maintenant quatre ans, puisqu'il y a toujours de part le monde neuf pays qui condamnent les homosexuels à mort, dont certains les exécutent, dont l'Iran. Donc chaque année, à la Gay Pride, nous rappellons à tous les gens [...] notamment en Afrique et en Asie, pour leur homosexualité, et il faut arrêter cette barbarie, arrêter la peine de mort dans tous les pays qui la pratiquent, et en particulier dans ces
neuf là !

commentaires : Remarquons au passage comment Voix-de-fausset le « n'humaniste » prend bien soin d'amalgamer le principe de la peine de mort avec l'utilisation dévoyée et barbare qui en est faite dans les pays islamiques obscurantistes arriérés ! Si leur but était de faire cesser la barbarie qu'ils dénoncent, pourquoi s'embarrasser de préjugés idéologiques qui heurterons les humanistes qui sont pour une application raisonnable de la peine de mort (1) dans des conditions démocratiques stictes, pour des cas graves (viols d'enfant, terrorisme, etc.)? C'est d'ailleurs bien à leurs manipulations qu'on reconnait les crapules-aux-bons-sentiments-qui-puent comme chez Amnesty International et consort ! Leur mauvaise foi n'a d'égale que leurs présupposés idéologiques, qui priment toute autre considération : le sort des victimes de barbarie importe peu, finalement...

(1) et ils sont nombreux, puisque les plus grandes démocraties du monde, dont l'Inde et les Etats-Unis sont attachés à la peine de mort (dont les deux candidats à la Maison Blanche). Une majorité des européens, dont la volonté a été baffouée par une minorité d'idéologues, continue d'ailleurs, malgré le mattraquage idéologique de la pensée unique au service du politiquement correct, à être obstinément pour la peine de mort.

Q: OK. Je vois sur les drapeaux qu'il y a beaucoup de vert. Donc ça représente les pays musulmans. Est-ce que vous pensez que l'islam a un problème avec l'homosexualité ?

Voix-de-fausset: Alors, l'islam n'a pas un problème avec l'homosexualité. En revanche, la charia en a un ..[agaga][agaga]..

commentaires : Hep débilard ! charia = loi de l'Islam = Coran + hadiths.
Pas de Charia sans l'islam, et pas d'islam sans la charia !

(le couple « parfait » en quelque sorte !)


Voix-de-fausset: puisqu'effectivement les neuf pays qui sont représentés sur les drapeaux, les neuf pays qui condamnent à mort les homosexuels sont des pays qui appliquent tout ou partie de la Charia.

commentaires : Tsss... tss... même PAS UN pays non-musulman ? ...Finalement, c'est tout vert, si j'ai bien capté ! ...Comment ce fait-ce ??
Ceci dit, pendant que vous réfléchissez à vos contradictions, je vous signale que *tous* les pays musulmans appliquent « tout ou partie » de la Charia. D'ailleurs, plus ça va, et plus ils privilégient le « tout » à une « partie », si large soit-elle. Et quand c'est une « partie » c'est généralement au prix de contorsions sans nombre. Un peu comme vous, bichtouflard ! ...quand vous tortillez du cul comme si vous aviez un ver solitaire.
Voix-de-fausset: [n'hésitant pas à nous servir, sans ciller, un mensonge gros comme une maison] En revanche, l'islam n'a pas un problème avec l'homosexualité : regardez au Maroc regardez le mouvement qui est en train de naître au Maroc ..[agaga][agaga].. pour l'abolition de la peine de mort, et qui est porté en grande majorité par LES ..[agaga].. religieux musulmans et par LES ..[agaga][agaga].. représentants de l'islam au Maroc qui sont entièrement pour l'abolition, de la peine de mort.. [coin][coin]

commentaires : Essayez d'être un minimum crédible dans la formulation, quand vous débitez vos débilités mensongères, SVP ...petit débilard ! : si le mouvement est « en train de naître », comment voulez-vous qu'il draine une majorite de [et blah][et blah] ? Ca va se voir que vous mentez ..comme le nez [de Pinoccio] au milieu de la figure !!

Q: [interrompant cette salade de délires mensongers passablement grotesques] Est-ce que ça reste des gens qui condamnent l'homosexualité ? Vous savez que le Coran condamne clairement l'homosexualité ? Et les hadiths aussi, qui condamnent clairement l'homosexualité, au même titre que l'adultère. Et que la peine de mort, quoi qu'il arrive, est le ..

Voix-de-fausset: Alors, certains pays musulmans ont déjà aboli la peine de mort, y compris pour homosexualité, et il ne faut pas mettre au ban forcément les pays musulmans, ils sont plus regardé sur l'application de la Charia, qui est la raison pour laquelle les homosexuels sont condamnés et exécutés chaque année.

commentaires : Rappelons donc à ce tartuffe gaucho-gnangnan droitdelhommiste « à-la-petite-semaine » que TOUS les pays musulmans ont TOUJOURS refusé de signer la DUDH, la Déclaration universelle des Droits de l'Homme. Et qu'AUCUN pays musulman n'a non plus aboli la peine de mort, n'en déplaise aux allégations de Voix-de-fausset !


Troisième partie: Conclusions.

Peu d'homosexuels, je pense (enfin, je l'espère), se reconnaîtront dans cette parodie carnavalesque de l'homosexualité qu'est la Gay Pride. Certains diront que la sur-affirmation de l'homosexualité était nécessaire pour « compenser ». Compenser quoi ? ...une impossible mise en équivalence ?
De la fausseté de la posture victimaire des homosexuels en occident
Je voudrais mettre clairement les choses au point : il y a belle lurette que la société occidentale a cessé de considérer l'homosexualité comme une tare ou une maladie, voire même (ce qu'elle est pourtant) comme une anomalie commune, comme la nature, qui procède par essais et erreur, en commet beaucoup.

Il y a belle lurette aussi que la société occidentale a admis que l'on ne choisit pas sa sexualité, et qu'il est absurde de croire qu'on puisse y changer quelque chose. Les églises elle-mêmes le reconnaissent, et deviennent très prudentes avec la notion de « péché », distinguant clairement l'inclination des actes.

La société occidentale fait donc tout ce qui est possible (et même parfois beaucoup plus) pour intégrer au mieux ses homosexuels : dans tous les domaines où c'est normal, les homosexuels ont les mêmes droits que les hétérosexuels. Les homosexuels ont la possibilité de vivre en union civile et même de se marier dans certains pays comme le mien (ce qui est un non-sens absolu, mais bon ...bref !). Rare sont donc, contrairement aux allégations victimaires des associations gays, les agressions et même les insultes contre les homosexuels. On pourrait même dire, à contrario, qu'elles sont peu nombreuses (exception faite des zones à forte concentration musulmane) surtout si on tient compte de l'agacement que provoque l'activisme outrancier de ces associations.
Du caractère liberticide des lois scélérates sur « l'homophobie »
C'est ce qui s'est passé en France notamment, où les gauchistes ont monté de toutes pièces une prétendue haine contre les homosexuels, pour justifier l'instauration de lois d'exception dans un but gramscien. (Ils ont d'autant plus facilement "justifié" leurs allégations que l'établissement de statistiques sur base de groupes ethniques et autres est interdite dans ce pays).
Bien que rédigées sur un mode prétendument « neutre », ces lois, comme celles sur le racisme, ne sont nullement neutres dans les faits : de la même façon que le racisme anti-blanc, anti-occidental, anti-femmes omniprésent chez les musulmans n'est pratiquement jamais réprimé (1), de la même façon, jamais des propos hétérophobes n'ont fait l'objet d'une condamnation. Tout fonctionne sur le mode « à sens unique » (devinez lequel !) . A l'antiracisme stalinien des multiculturalistes islamophiles et palestinophiles répond l'hétérophobie des militants hystériques d'Act-Up et consorts.
Le but, comme expliqué très clairement plus haut (cf. "Le gramscisme comme lutte liberticide") , étant de dédouaner le groupe autoproclamé des opprimés (des musulmans, dans le premier cas, des homosexuels, dans le second) "opprimés" qui peuvent à peu près tout se permettre, tandis que le groupe désigné par les gauchistes et les islamistes comme le groupe « oppresseur » est prié d'encaisser en silence leurs diffamations, manipulations et mensonges ignobles, et de « faire repentance »...

(1) tout au plus, l'antisémitisme est-il encore désavoué du bout des lèvres, quand il est décliné sur le mode du négationnisme ou le mode hitlérien, mais on le laisse tranquille, lorsqu'il est décliné sur le mode de la haine d'Israël, l'État juif systématiquement diabolisé, comme substitut à la haine des juifs. Le comble de la dérision et du grotesque étant atteint lorsque Charles Enderlin, alter-juif, et l'un des pires antisémites qui soient, notament par son ignoble montage médiatique de la prétendue mort de Mohammed Al-Dura sous des balles israéliennes destiné à diaboliser les juifs d'Israël, arrivera avant que son propre mensonge ne soit démasqué par la justice, à faire condamner un grand ami des juifs, Nicolas Ciarapica, pour ...antisémitisme !
De l'égalité de droits des homosexuels
N'en déplaise aux brêles égalitaristes, et autres nihilistes, l'égalité de droits ne postule pas mise en équivalence de ce qui n'est pas comparable, elle ne postule pas une indifférenciation qui viderait ces droits de leur sens (comme le droit au mariage, par exemple, ou celui de l'adoption). L'égalité des droits des individus placés dans les mêmes circonstances : il ne viendrait à personne de censé l'idée de taxer de discrimination sexiste les hommes qui ne bénéficient pas du repos d'accouchement.
De l'hétérosexualité en tant que fondement - incontournable - de la société,
De même, n'en déplaise aux brêles nihilistes, l'hétérosexualité constitue la base même, le socle de toute société, humaine ou non. Toute société, même animale, comporte un certain nombre d'individus homosexuels, ne fut-ce que parce que la Nature procède par essais et erreurs. La nature se sert d'ailleurs souvent de l'homosexualité pour réguler la démographie d'une espèce par rapport aux ressources dont elle dispose. Ainsi en va-t'il par exemple chez le pou des éponges, où des mâles se font passer pour des femelles (des travestis, quoi !), ce qui permet une bonne régulation de la croissance de la population par rapport à son milieu tout ...en contentant tout le monde :)
Une société n'est pas seulement une collection d'individus, mais également une espèce qui a en charge sa propre préservation, qui inclut la reproduction et l'élevage (éducation) et la protection de ses petits, comme toute espèce animale.
A cet égard, l'homosexualité n'est pas un simple détail de l'apparence de la personne, comme la couleur de la peau (comparaison utilisée à tort et à travers par les imbéciles gramsciens) et justifie amplement que la société s'inquiète de ses fondements comme la famille, la reproduction, et l'éducation des enfants. Des fondements qu'il s'agit de préserver dans l'intérêt même de l'espèce, tout comme dans celui de ses individus les plus jeunes, n'en déplaise à une petite minorité d'individus !
Des droits fondamentaux - inalinéables - des hétérosexuels, et du respect de la démocratie par les minorités (en ce compris celle des homosexuels, qui n'en est pas "dispensée")
Là se trouve la ligne rouge, pas seulement pour des croyants de diverses obédiences, mais également pour de véritables laïcs comme moi (à ne pas confondre avec des brêles laïcardes "à la frönçaise" qui ne sont qu'une caricature grotesque de la laïcité) par rapport à ceux qui utilisent - à tort et à travers - l'argument de « non-discrimination » : la majorité hétérosexuelle a aussi des droits fondamentaux inaliénables, et elle a le droit, parfaitement démocratique, de les défendre.
Un autre point est le respect du jeu démocratique. La protection des minorités est un fondement de la démocratie, mais ne peut dégénérer en communautarisme : elle doit être strictement limitée aux droits individuels, tels qu'ils sont établis démocratiquement. Et elle ne peut devenir, comme c'est hélas devenu trop souvent le cas aujourd'hui, un moyen d'asseoir une tyrannie anti-démocratique des minorités, qu'elles soient "sexuelles", culturelles, ethniques, religieuses etc.
De la subversion gramscienne de (la plupart des) associations d'homosexuels

Bien entendu, pour ceux qui, inconsciemment ou non, font du gramscisme, là est l'objectif : déruire ce qu'ils considèrent, dans leur petite tête de gauchistes, comme une intolérable « discrimination » : le fait que la société soit majoritairement faite par et pour des hétérosexuels !
De la concurrence des groupes gramsciens.
Ou : « Quand le gramscisme des brêles tapettoïdes d'Act Up et consorts se mort la queue »
(si j'ose ainsi m'exprimer)
Il est pourtant une chose que les brêles gramsciennes tapettoïdes tout à leur exhaltation de l'homme maghrébin perçu comme une nouvelle terre promise (il faut lire certains délires sur les sites tapettoïdes !) n'ont pas compris, c'est que le même maghrébin, s'il est tapette, évitera soigneusement de le dire, et même de le sous-entendre (adieu la fameuse "terre promise"). Pire : de plus en plus nombreuses sont les bandes de jeunes maghrébins qui, se sentant de plus en plus en « terrain conquis », donnent facilement la « rattonnade » aux homosexuels, comme à Amsterdam ou à Rotterdam, ou encore (mais ceci est absolument "tabou" pour les medias français, comme les viols en tournante dans des caves sordides, ou les crimes « d'honneur ») dans les banlieues françaises.

Pire encore, un certain nombre de pays musulmans (et pas des moindres) ne se cachent même pas pour torturer et pendre leurs homosexuels, comme en Iran, au bout d'une grue. Lorsque - pour une fois - ces associations d'homosexuels essaient de faire entendre de légitimes récriminations, face à ces horreurs manifestes et immondes commises à l'encontre d'homosexuels, les associations droitdelhommistes font comprendre à ces déviants : «doucement les basses !». Dame ! C'est qu'il ne faudrait pas verser dans l' «islamophobie» sous prétexte de mettre en cause l'homophobie de certains actes, n'est-ce pas ? Et puis, où serait la discipline du parti, si les groupes gramsciens de victimes autoproclamées se mettaient à se déchirer entre-eux.
Allons allons ! ...rappelle-toi la lutte des classes, camarade : ne te trompe pas d'ennemi !
On voit donc clairement, ici, une limite interne de la lutte culturelle gauchiste menée au nom du renouvellement de la lutte des classes, autrement dit, du gramscisme. Tant que l'on pouvait exciter les groupes gramsciens, c-à-d: les minorités dominées et oppressées autoproclamés, contre le même groupe dominant et oppresseur non ouvertement désigné (et largement fantasmé), dont on pouvait discréditer la culture et la civilisation à tout-va, tout allait bien : il en va tout autrement lorsqu'un groupe gramscien "opprimé" l'est par un autre groupe gramscien, réellement oppresseur et réellement dominant, sous le masque de "minorité opprimée".
Les imbéciles gramsciens, qui se font volontiers les idiots utiles, voire les compagnons de route de l'obscurantisme totalitaire qu'est l'islam feraient bien de s'en souvenir !