11 juin 2008

Chanson pacifiste (Give jihad a chance)

La musique adoucit les mœurs parait-il. Bien ! Encore ne faut-il pas chanter n'importe quoi ! ...Et que la chanson ne ne soit pas tout simplement écrite pour nous abêtir et nous faire prendre des vessies pour des lanternes !!



Aussi, pour vous désintoxiquer les oreilles d'une des plus bêtes chansons pacifistes due à deux parmi les plus nullards d'entre eux (John Lennon et Yoko Ono), je vous invite à écouter ce remake dû à l'ébouissante Michelle Malkin
(dont l'intelligence ne le cède en rien à la grâce et à la beauté)

Give jihad a chance


One two a one two three four

[Peace laureate Betty Williams]

Ev’rybody’s talking about
terrorism Islamism patriotism hateriotism fascism bushism
This-ism, That-ism, is-m, is-m, is-m
All she is saying is give murder a chance,
All she is saying is give murder a chance,

[Peace laureate Yasser Arafat]

Eveybody’s talking about martyrdom dirty bomb car bomb
Fatah bomb Hamas bomb Al Aqsa bomb
Bomb bomb child bomb
All he was saying was give terror a chance
All he was saying was give terror a chance

[Peace laureate Jimmy Carter]

Let me tell you now
Negotiation hesitation mediation contemplation
Flagellation United Nations Machinations Flatulations
All he is saying is give appeasement a chance
All he is saying is give appeasement a chance

[“Peaceful” warriors for Islam]

Everybody’s talking ‘bout
Katyusha Hezbollah Syria Dawa Ahmedinijad Allah
Allah Allah Allah
All they are saying is give jihad a chance
All they are saying is give jihad a chance

All they are saying is give jihad a chance
All they are saying is give jihad a chance


NB : Publié le 26 juin 2006 sur Hot Air

Enjoy !!



12 commentaires:

BlueKing a dit…

Un bol d'humour et de lucidité face à ce monde d'autruches imbéciles, d'abrutis et de lâches qui nous entraînent, au nom du multiculturalisme, du pacifisme, et du politiquement correct, vers une catastrophe pour nos libertés chèrement conquises, au nom d'une cécité criminelle et d'une idéologie nauséeuse du « vivre ensemble » à tout prix.

Que de cruelles désillusions en perspective...

Anonyme a dit…

Hébé ! On peut dire que ça décape !

On comprend que les embouchés à l'emeri du «dialogue» interculturel ne soient pas à la fête !

Élisa Naibed a dit…

On peut être pacifique, mais certainement pas "pacifiste" !

Être pacifique, c'est aspirer à la paix, sans renoncer à son droit de légitime défense. En ne cherchant pas à causer du tort à son voisin sans raison, par exemple. Mais être prêt à prendre les armes si celui-ci veut nous en causer à nous, par exemple en attentant à nos droits, à nos libertés.

Être pacifiste, c'est vouloir placer la paix (comprise comme l'absence de guerre) au-dessus de tout. Même au-dessus de nos droits, de notre liberté, de notre culture, etc. Même au prix de notre asservissement.

On sait comment nos « pacifistes » ont largement amplifié le désastre de la seconde guerre mondiale, en empêchant que l'on agisse à temps.

Tout comme on sait comment les mêmes brêles nuisibles, pas gênés du tout de leur lâcheté et de leur soumission face à l'ennemi, ont remis ça immédiatement après la guerre, avec le slogan de « plus jamais ça ». Evidemment, nos brêles pacifistes - qui n'avaient rien appris de la guerre n'entendaient pas par là
« plus jamais ça, le pacifisme » mais « plus jamais ça, la guerre », comme si la guerre était quelque chose qui ne dépendait que de nous, et qu'il faudrait toujours et à tout prix éviter. (Alors qu'il est souvent raisonnable de la préparer, et même parfois de l'anticiper : si vis pacem para bellum disaient déjà les romains)

Pour les brêles pacifistes de l'immédiate après-guerre, tout aussi bêlantes que celles de 1939, il fallait éviter à tout prix de constuire un « nous » et un « vous » (1), quitte à créer la confusion entre les bourreaux totalitaires (les impérialistes nippons, les national-socialistes allemands, les fascistes issus du socialisme italien) et leurs victimes démocratiques (les alliés, qui ont grâce aux américains, pu lutter pour le maintien de leurs droits et libertés démocratiques).


(1) Tarik Ramadan ne dit pas autre chose lorsqu'il cherche à obtenir des pays occidentaux qu'il laisse grande ouverte la porte du poulailler occidental aux renards musulmans...

Pour arriver à leurs fins, nos brêles pacifiste vont plonger dans ce nihilisme destructeur qu’est le relativisme culturel, et donner naissance à cette idéologie infecte qu’est le multiculturalisme, où l'on pose que, peut importe le degré de civilisation et le trajet historique de chaque culture, peu importe leurs lois ou leurs coutumes tribales, ou encore leurs pratiques barbares "toutes les cultures et toutes les religions se valent" (peu importe si cette religion cache une idéologietotalitaire, par exemple). Si les pacifistes avaient su, ils auraient inventé le concept de « naziphobie » en '39, comme ils tentent aujourd'hui de censurer la nécessaire critique de l'islam, en cherchant à instaurer un « délit de blasphème » au nom d'une prétendue « islamophobie ».

L'hérédité étant ce qu'elle est, et les crétins donnant généralement naissance à de nouvelles générations de crétins, rappelons dont à la génération de brêles pacifistes d'aujourd'hui comment Winston Churchill condamnait les accords de Munich par cette phrase : « On vous a donné le choix entre le déshonneur et la guerre ; vous avez choisi le déshonneur et vous aurez la guerre ».

Anonyme a dit…

Haha haha !!! Bousculer ainsi John Lennon, l'icône avachie des hippies shootés à la cannabis qui croient qu'il suffit de décréter le pacifisme bête pour changer le monde ! ...

Stogie a dit…

Naibed, ecrivez plus de posts!

J'ai fait une ligne a mon blog a le votre.

Élisa Naibed a dit…

Thanks for the link to my blog, stogie !

Ecrire plus de posts, c'est aussi mon souhait. Hélas, c'est souvent le temps qui me fait défaut !
But I'll try !

Patchan74 a dit…

Bonjour Naibed,

J'ai découvert à l'adresse suivante un texte intéressant sur l'Islam.

Vous ne serez peut-être pas d'accord avec la conclusion optimiste de son auteur concernant l'avenir de l'Islam, mais je pense qu'il vaut la peine d'être lu par tous ceux qui s'intéressent à cette question.

http://www.bastiat.net/fr/cercle/rencontres/2008-1.html

Élisa Naibed a dit…

Je connaissais effectivement cet article. L'essentiel de ce qui est dit dans le corps de celui-ci est correct (il y aurait bien quelques points à reprendre ou à préciser, mais je ne vais pas chipoter) bien qu'incomplet. Mais ce qui ne va pas, c'est que, dans sa conclusion, cet article se mord la queue.

En effet, après avoir montré la ténacité historique de l'islam à s'accrocher à ses conquêtes en France (1) jusqu'au XIX° siècle, après avoir montré comment le fanatisme de cette idéologie militaro-religieuse plus que millénaire vient à bout de civilisations brillantes, détruisant tout sur son passage, tout en faisant subir aux peuples qui sont sous son joug un endoctrinement et un conditionnement absolument hallucinant (2) plus que millénaire, qui - sur la durée - s'inscrit profondément dans la conscience collective, comment envisager sérieusement que la science moderne pourrait venir seule à bout de cette idéologie, là ou quatre écoles juridiques ont réussi, au cours des siècles, à conforter et à justifier les pires des invraisemblances, tout en verrouillant les portes de l'ijtihâd (l'interprétation) à toute innovation.

(1) et en Europe jusqu'à l'éclatement de l'empire Ottoman, pour y revenir en force déjà vers le milieu du XX° siècle !

(2) où une secte meurtrière abominable et épouvantable, après avoir phagocyté la culture, la langue, et la civilisation (brillante pour l'époque) des arabes et des perses polythéistes, en fait un magma théocratique, une bouillie communautariste tout à fait infecte où les musulmans apprennent la haine des Juifs dès la petite enfance, une haine qu'ils puisent dans les fondements mêmes de leur "religion", et qu'ils entretiennent jour après jour en vomissant al-Yahoudi par dizaines de millions dans leurs mosquées, en ne rêvant que d'extermination de tous les juifs, et de soumission de tous les kafirs, etc, etc.

La comparaison avec l'implosion du communisme n'est pas non plus très pertinente. Mr Jean-Jacques Walter semble ignorer que les américains avaient préalablement bel et bien déclaré une guerre aux soviétiques, avec l'Initiative de Défense Stratégique (le programme dit de la "Guerre des étoiles") sous Ronald Reagan. En menaçant le statut quo (l'équilibre de la terreur) avec leur projet de parapluie anti-missiles, ils obligeaient l'appareil militaro-économique soviétique à entrer dans une compétition militaro-économique que l'URSS, déjà affaiblie économiquement, n'avait depuis longtemps plus les moyens d'assumer. C'est bien la stratégie reaganienne, cette guerre militaro-économique qui allait rapidement étouffer l'Union Soviétique et contribuer à sa chute, et non la lassitude de l'intérieur face au régime. Rien de comparable ici avec les pays islamiques et, en particulier l'Arabie et l'Iran, qui bénéficient d'une formidable rente pétrolière, et qui inondent les réseaux islamiques en occident de leurs pétrodollars pour financer l'expansion de l'islam, tout en s'engageant dans une course de vitesse pour assurer leur suprématie dans la perspective d'un futur califat mondial. La république islamique d'Iran, en particulier, joue son va-tout, en choisissant délibérément de consacrer des sommes pharamineuses à l'entretien de réseaux islamiques un peu partout en occident, ainsi qu'à la poursuite de son programme nucléaire. Un Iran prêt à en découdre avec Israël et l'Occident, dans une sorte de fanatisme absolutiste qu'il serait dangereux de sous-estimer...

Bref, ce texte me donne l'impression d'une analyse inachevée. Après un début plutôt lucide, Mr J.J Walter semble s'effrayer de voir où le conduisent ses propres prémisses, et embraie (sans lien véritablement convainquant entre son développement et sa conclusion) vers une conclusion plutôt rassurante, une conclusion qui dispenserait de prendre le taureau par les cornes...

Lire aussi :
"Pas d'alternative à la victoire. La défaite du totalitarisme islamique"

MARCHE DE NUIT DES FEMMES a dit…

Hello Belle Naibed
Une fois de plus, merci. Lucide, intelligente et acharnée.
Je suis prête à remettre en question ma (bête?) tendresse pour John Lennon & Yoko Onno. C'est pas rien.
Une ex-soixante-huitarde attardée qui a révisé ses standards depuis qu'elle te connaît
Lulu

Alix a dit…

Hello Naibed,
Les Arabes ne méritent pas la liberté et leur salut nécessite le retour du colonialisme occidental. Qui ose tenir ces propos choquants comme la vérité qui sort du puits ? Un néonazi-blanc-islamophobe ? Une féministe enragée ? Même pas : un Arabe. L’intellectuel koweïtien Ahmad Al-Baghdadi, ancien enseignant à l’université de Koweït. Lisez sa thèse ici, ca redonne la joie de vivre. http://www.mediarabe.info/spip.php?article999

Élisa Naibed a dit…

Remarquable pont-aux-ânes des pacifistes : un dialogue intéressant, cité par Pierre-André Taguieff dans son dernier livre « Julien Freund, au cœur du politique » p.99-100. Ce dialogue a lieu avec son professeur, Jean Hyppolite, lors de la soutenance de thèse de Julien Freund en 1965.

Hyppolite : «Reste la catégorie de l'ami-ennemi définissant la politique. Si vous avez raison, il ne me reste plus qu'à cultiver mon jardin.»

Freund : «Écoutez, Monsieur Hyppolite, vous avez dit […] que vous aviez commis une erreur à propos de Kelsen. Je crois que vous êtes en train de commettre une autre erreur, car vous pensez que c'est vous qui désignez l'ennemi, comme tous les pacifistes. Du moment que nous ne voulons pas d'ennemis, nous n'en aurons pas, raisonnez-vous. Or c'est l'ennemi qui vous désigne. Et s'il veut que vous soyez son ennemi, vous pouvez lui faire les plus belles protestations d'amitiés: du moment qu'il veut que vous soyez son l'ennemi, vous l'êtes. Et il vous empêchera même de cultiver votre jardin.»

Hyppolite :«Résultat il me reste plus qu'à me suicider.»

P.-A. Taguieff cite ensuite le commentaire critique fait par Raymond Aron (qui sera plus tard, également directeur de thèse de Freund), à propos de Jean Hyppolite et rapporté par Freund: «Votre position est dramatique et typique de nombreux professeurs. Vous préférez vous anéantir plutôt que de reconnaître que la politique réelle obéit à des règles qui ne correspondent pas à vos normes idéales.»
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Deux liens pour aller plus loin :
* Contre le pacifisme
* Eloge d'un penseur déplaisant: Freund par Taguieff. *

Anonyme a dit…

Au lieu de rire, je pense vraiment (l'ayant fait moi-même) qu'il faut mettre un Coran dans les mains adultes de tout un chacun.
La charte du Hamas aussi.

Ces gens-à sont déterminés, résolus à apporter la "solution finale" tant rêvée par leur nouveau maître et leur nouveau Coran.

Vous l'aurez compris, il s'agit d'Adolf Hitler et de Mein Kampf.

A la différence près, qu'Adolf en voulait seulement aux juifs (ce qui en réjouir certains) alors que les musulmans veulent instaurer sur la terre entière, leur religion.

Adieu les athées et tous les autres croyants !